Logo

Site non disponible sur ce navigateur

Afin de bénéficier d'une expérience optimale nous vous invitons à consulter le site sur Chrome, Edge, Safari ou Mozilla Firefox.

adnews
  • Lutte contre la fraude
  • Paiement
  • International

Biométrie : Visa lutte contre les mots de passe

Visa s’est allié à BioConnect pour développer une application d’authentification biométrique multi-facteurs. Un pas de plus vers la fin des mots de passe.

Les deux partenaires veulent concevoir une application capable de supporter plusieurs facteurs d’authentification en s’appuyant sur des outils présents sur les smartphones de nouvelle génération. Les fonctionnalités de reconnaissance d’empreintes, les micros et autres caméras embarqués nativement servent de base.

Leur but : permettre à un maximum d’utilisateurs d’opter pour ce type d’outils pour valider leur identité dans des contextes de paiement et accéder à leurs services bancaires. Cette application centraliserait l’ensemble des données requises, permettant à d’autres de s’en servir (application de m-banking par exemple).

Il s’agirait selon Visa de pallier la mise en place par défaut d’un mot de passe comme option alternative en cas d’incapacité à s’identifier par biométrie. Aussi, si un facteur est inopérant, il pourra être remplacé par un autre. Autre point mis en avant, les données d’authentification n’auront pas à être réenregistrées en cas de changement de mobile par exemple.

Notre analyse : Plusieurs facteurs biométriques pour mettre un terme aux mots de passe

Visa table sur le choix pour fédérer les usages autour de la biométrie. A l’instar de plusieurs acteurs des paiements, le réseau cherche à proposer des alternatives viables aux mots de passe sans nuire à l’expérience client. Il explique par exemple que si un environnement bruyant ne permet pas à l’utilisateur de s’identifier vocalement, son empreinte ou un scan de son iris peuvent être envisagés.

Cette annonce suit la présentation faite cette année au salon Money20/20 par Visa et BioConnect. Pour rappel, ils comptent parmi les membres de la FIDO Alliance, consortium dont le but est précisément de propose des alternatives efficaces et viables aux mots de passe, jugés faibles.