Lendix adapte le prêt relais aux besoins des PME
Une nouvelle offre de financement aux petites entreprises fait son apparition sur le marché français. Portée par le leader français du crowdlending, cette offre innovante illustre la place croissante des FinTech dans le prêt aux PME, face aux banques.
Lendix, plateforme la plus dynamique du crowdlending en France, revient sur le devant de la scène avec une nouvelle offre de financement innovante dédiée aux petites entreprises : le prêt relais Flexible.
Cette nouvelle offre est présentée comme un prêt amortissable engageant les emprunteurs sur une période de 9 mois, mais offrant ensuite une possibilité de remboursement anticipé sans frais pendant tout le reste de la durée du prêt, y compris en cas de refinancement par d’autres organismes prêteurs.
Le prêt relais flexible table donc sur la transparence et la flexibilité pour attirer les petites et très petites entreprises françaises.
Mise en perspective : Une offre nouvelle pour redorer une image et rester concurrentiel
Pour asseoir sa position dominante sur le marché du financement des entreprises en France, Lendix rachetait Finsquare en avril 2016. La croissance record du marché du financement participatif annoncée en février 2017 portait par ailleurs toujours plus haut les ambitions de la FinTech.
Début 2017, Lendix s’est cependant heurtée aux accusations portées par l’UFC-Que Choisir auprès de l’ACPR, concernant ses clauses abusives et notamment ses manquements en matière de devoir d’information. Lendix doit par ailleurs toujours faire face à la concurrence de poids des banques traditionnelles qui contre-attaquent sur le terrain de l’innovation. Ce nouveau produit va lui permettre de se distinguer à nouveau. Elle annonce aujourd’hui avoir produit 119 millions d’euros de prêts. Sur 35 000 dossiers reçus (dont 5 000 en Espagne), 316 ont été acceptés.
Depuis le début de l’année, Lendix a décidé de se lancer à l’international, en Espagne d’abord, puis en Italie. Aujourd’hui, couronnement de sa stratégie volontariste, l’étude FinTech 100 de KPMG la classe, au même titre que 5 autres start-up françaises, parmi les « 50 émergentes » dans le monde.