L’assurance auto se tarifie à la minute avec Altima

Altima par Maif, présente son idée de l’assurance en Pay As You Drive. Son modèle « à la minute » pousse toujours plus loin la flexibilité et la personnalisation. Ce contrat fait notamment suite au lancement de la première assurance collaborative pour conducteurs de véhicule électrique. Il permet à Altima et Maif d’enrichir encore leur catalogue d’assurances innovantes.

La nouvelle solution d’Altima repose sur son application mobile. Côté technique, rien de bien innovant : les trajets des assurés sont automatiquement détectés par un boitier connecté installé dans le véhicule et relié à l’application.

L’assurance auto à la minute d’Altima est ainsi capable de calculer en temps réel le coût de la prime de ses assurés, en fonction de l’usage réel de leur véhicule et ce, à la minute près. Cette information est consultable via l’application.

Chaque mois, les assurés de cette formule ultra personnalisée payent ainsi une prime équivalente à la circulation réelle de leur véhicule, associée à un forfait mensuel couvrant le véhicule à l’arrêt.

Mise en perspective : L’option de l’usage réel

Cette nouvelle « assurance à la minute » d’Altima représente à la fois une opération de communication et la mise en œuvre concrète de la stratégie de différenciation d’Altima par Maif, qui mise sur des usages ultra-personnalisés (véhicules électriques, Nissan Leaf, voitures anciennes). En prônant l’idée d’une tarification « à la minute », Altima et Maif insistent encore sur cette idée de personnalisation en fonction des usages réels.

Cette nouvelle formule s’adresse particulièrement aux très petits conducteurs, à l’image des autres communautés, qu’Altima envisage de créer. Maif a aussi esquissé ce mouvement, avec son Coach Auto ou en déployant des offres de couverture à la journée pour les motards.

La mobilité, un enjeu majeur pour la Maif

La Maif s’engage d’ailleurs de plus en plus dans le soutien et le développement d’offres de services liées à la mobilité (Klaxit ou Koolicar par exemple). L’assureur a bien compris que ce secteur, en pleine révolution, avait le potentiel de faire émerger des solutions d'avenir intéressantes et parfois disruptives. D’où cette volonté d’expérimentation par le biais d’une filiale conçue en mode start-up.