iBanFirst aide à identifier les frais cachés des paiements internationaux

LES FAITS

• La FinTech française qui propose un service de paiements internationaux aux PME, iBanFirst, vient d’annoncer le lancement d’un nouveau service : un simulateur de frais bancaires

• L’objectif ? Aider les entreprises opérant des virements internationaux à repérer les frais appliqués par leur banque sur leurs opérations.

• L’outil est accessible directement sur le site d’iBanFirst et ouvert à tous les utilisateurs, clients ou non de la FinTech.

• Ces derniers sont invités à renseigner quelques informations :
  • le nom de leur banque,
  • le CA annuel de leur société,
  • le montant des paiements en devises reçus ou envoyés,
  • le nombre de transactions,
  • leur adresse e-mail professionnelle.

• Une fois ces éléments renseignés, iBanFirst s’engage à informer les utilisateurs sur le montant qu’ils pourraient économiser en passant par iBanFirst plutôt que par leur banque traditionnelle pour réaliser leurs paiements internationaux.

• Pour ce service, iBanFirst s’est engagée dans une démarche de collecte, de traitement et d’analyse des données pendant plus d’une année, examinant la documentation officielle d’une dizaine de banques française ainsi que plusieurs centaines de relevés de compte d’entreprises.

• Ce sont les taux de change EUR/USD qui sont pour le moment concernés.

ENJEUX

• Prospecter : avant de connaitre les économies qu’ils pourraient réaliser, les utilisateurs du service d’iBanFirst doivent renseigner leur adresse e-mail professionnelle et enrichir par la même occasion la base de données des contacts de la FinTech et la connaissance de son marché.  

• Jouer la transparence pour convaincre : avec son nouveau simulateur, iBanFirst mise sur la transparence. L’objectif pour la FinTech est bien évidement de faire la comparaison entre son offre et celles des banques traditionnelles, pour convaincre de la pertinence de son service.  

MISE EN PERSPECTIVE

• iBanFirst et son simulateur raniment la guerre des prix qui oppose les banques traditionnelles et les acteurs de la FinTech. iBanFirst utilise tous les arguments à sa disposition : transparence, praticité, et lutte contre une position monopolistique.

• 6 milliards d’euros seraient concernés chaque année par les frais appliqués sur les paiements internationaux par les banques, des frais prélevés dans une certaine opacité selon iBanFirst.