Crédit Agricole, catalyseur de solidarité face au Covid-19
LES FAITS
- Dans le cadre de la pandémie du Covid-19, Crédit Agricole veut mettre en avant son rôle de groupe régional et de proximité. Elle s’engage donc dans une nouvelle opération de solidarité en capitalisant sur sa plate-forme J’aime mon territoire.
- Objectif : permettre de créer ou maintenir des liens entre les personnes, au niveau local en faisant jouer l’effet de réseau.
- La plate-forme, totalement gratuite, est accessible depuis un ordinateur ou un appareil mobile. Elle propose trois modes d’utilisation en fonction des besoins :
- demander de l’aide,
- proposer son aide,
- partager des informations locales utiles en cette période de confinement et de perturbations des habitudes.
- Un onglet « Ma communauté » permet aussi de regrouper des utilisateurs par localité.
- Des pages sont dédiées aux associations, commerçants et autres producteurs locaux pour partager leurs actions.
ENJEUX
- Renforcer son rôle d’acteur local majeur et mettre ses ressources à dispositions des citoyens : Plus qu’une banque, Crédit Agricole entend ici défendre son engagement au niveau des territoires, en tant qu’acteur du développement local et créateur de lien. Pour ce faire, elle a ouvert sa plate-forme à tous, clients ou non de la banque. Crédit Agricole met ainsi en avant son engagement solidaire pour faire face à la crise du Covid-19, y compris vis-à-vis des non clients de la banque.
MISE EN PERSPECTIVE
- La plate-forme J’aime mon territoire a été lancée courant 2019 dans certaines caisses régionales (notamment Pyrénées Gascogne et Brie Picardie) ; elle était à l’époque réservée uniquement aux sociétaires qui étaient invités à s’y connecter munis d’un code fourni à l’ouverture de compte. Dans cette période de crise, la banque capitalise sur la valeur de cet outil de partage pour conforter sa position de conseil et d’accompagnement.
- Les moyens qui restent à disposition de la banque demeurent actuellement les outils connectés, qui ne sont pas accessibles à la totalité de la population française (personnes les plus fragiles, seniors, personnes vivant en zone blanche) et qui représentent aussi la cible visée par ces actions de solidarité.