Assurance : Finance Innovation sacre Descartes Underwriting
LES FAITS
- Le Pôle de compétitivité mondial Finance Innovation a décerné son Prix « Insurtech de l’Année 2019 » le 3 octobre dernier à Descartes Underwriting.
- Elle a été sacrée pour son engagement à développer de nouveaux produits d’assurance contre les catastrophes naturelles et les risques environnementaux.
- Sa particularité ? Tabler sur la modélisation du risque et l’utilisation de technologies avancées :
- les données et images satellitaires
- des modèles mathématiques avancés
- l’IoT
- les données clients
- les technologies de télédétection
- Tous les assurés sont ciblés par les offres de Descartes Underwriting, de la petite exploitation agricole à la multinationale.
CHIFFRES-CLES
- Janvier 2019 : création
- Une dizaine de clients à ce jour
- 2 millions d’euros de levées de fonds
- Un objectif de collecte de 100 millions de primes d’ici quatre à cinq ans
- Une aide de 8 000 euros grâce à son prix de meilleure AssurTech de l’année
- 1 an d’adhésion à Finance Innovation
ENJEUX
- Lutter contre les phénomènes météorologiques imprévisibles ou extrêmes : le réchauffement climatique a notamment pour conséquences de renforcer les évènements climatiques et ainsi, d’empirer leurs conséquences. Le modèle de Descartes Underwriting envisage de préciser ces risques et d’adapter aux mieux les couvertures des entreprises.
- Tabler sur des offres paramétriques : Descartes Underwriting prévoit de détecter les anomalies environnementales pour déclencher automatiquement l’indemnisation des assurés.
MISE EN PERSPECTIVE
- Descartes Underwriting a profité des conseils et de l’accompagnement de l’incubateur Le Swave récemment choisi par l’ACPR pour organiser son initiative de promotion interne de l’innovation.
- L’AssurTech correspond en effet parfaitement aux attentes de l’incubateur en matière d’innovation et de promotion de la technologie en faveur du renouvellement des services existants.
- Son usage des images satellitaires pour améliorer les offres d’assurance n’est pas une première en France, puisqu’une autre AssurTech, Luko, propose déjà d’utiliser cette technologie dans ce contexte.