WePay simplifie la tâche des e commerces
- WePay, spécialiste de l’acceptation en ligne depuis 2008, propose aux commerçants souhaitant disposer d’une option de paiement mais ne bénéficiant pas de compétences en intégration, de « copier-coller » une simple ligne de code pour intégrer des boutons de paiement sur leur site. Dès lors les clients ne se retrouvent plus redirigés vers une page située hors du site (PayPal par exemple).
- WePay se charge de la gestion des transactions et se rémunère via des commissions qu’il prélève aux commerçants concernés : pour les paiements carte 2,9 % du montant de la transaction + 30 cents et pour les paiements par virement bancaire 1 % + 30 cents. Ces montants ont d’ailleurs été alignés mi-août par WePay sur ceux de PayPal pour favoriser l’adoption de ses services. Outre la fonctionnalité de paiement, d’autres options sont également accessibles par ce même procédé et peuvent être ajoutées : fonctionnalités « Add to Cart », « Donate » (pour collecter des fonds) et « Register » (pour souscrire un abonnement).
Source : Communiqué de presse de WePay
- L’offre de WePay est unique en son genre : c’est une offre simple d’usage et cohérente dont la mise en œuvre ne nécessite pas d’intervention technique poussée.
- Les offres concurrentes de WePay redirigent leurs visiteurs via leurs plates-formes situées hors des sites de e-commerce, vers une page de paiement distincte, souvent visuellement sans lien avec la charte graphique du site de vente en ligne.
- Les commerçants souhaitant disposer de pages de paiement peuvent choisir de les développer par leurs propres moyens mais s’exposent alors aux risques liés à leur mise en conformité ainsi qu’à la gestion des éventuels cas de fraude. La solution du prestataire de services de paiement leur facilite la tâche car ils ne se soucient plus de ces questions de sécurité (processus chronophages et onéreux).
- La société, qui explique recruter un millier de commerçants de plus par semaine, traite chaque année plusieurs centaines de millions de dollars de paiements. A l’origine centrée sur les échanges en B2B, elle s’est peu à peu ouverte au secteur de la vente en ligne. Depuis 2009, elle est parvenue à lever 20 millions de dollars.