Rentabiliweb déploie une solution contre les abandons de paiement en ligne
- Rentabiliweb vient de présenter une nouvelle fonctionnalité à destination des e-commerçants acceptant sa solution de paiement en ligne be2bill, permettant d’identifier et de rattraper les causes d’échec des achats en ligne.
- La nouvelle fonctionnalité de be2bill propose un double service d’information pour les e-commerçants et de conseil pour les clients finaux. L’objectif est d’améliorer le taux de transformation des visites sur les sites de vente en ligne en rebondissant sur les opérations abandonnées ou échues.
- Les e-commerçants acceptant be2bill recevront désormais les raisons des échecs des transactions de paiement opérées sur leur plate-forme. Rentabiliweb a de plus développé un outil d’e-mail retargeting permettant de relancer les acheteurs ayant abandonné leur transaction.
- Les e-mails envoyés aux consommateurs finaux en cas d’échec du paiement informent ces derniers sur la raison de la coupure de leur transaction, récupèrent leur panier et leur proposent des solutions alternatives telles que le paiement échelonné par exemple.
Source : Communiqué de presse
- Lancée en janvier 2012, be2bill avait déjà pour ambition, selon le directeur général de Rentabiliweb, d’optimiser le paiement en ligne via une carte de paiement classique. Avec cette nouvelle fonctionnalité, be2bill offre une solution complémentaire qualitative et personnalisée, à la fois pour le commerçant et pour le client final, à un moment crucial de la transaction en termes de relation client.
- Rappelons que Monext avait lancé l’année dernière une option intégrée à PayLine, baptisée « Le deuxième moyen de paiement », permettant de proposer aux clients une alternative en cas de refus du premier moyen de paiement choisi.
- Alors que les moyens de paiement alternatifs ont explosé ces derniers temps, Rentabiliweb a choisi de proposer une solution basée sur l’utilisation de la carte bancaire, qui reste utilisée dans les trois quart des paiements sur Internet en France (les moyens de paiement alternatifs devraient malgré tout représenter 14 milliards d’euros d’ici 2015).