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EME : Tunz.com rejoint l’Association Française des Etablissements de Paiement

  • Agissant comme prestataire dans le domaine des moyens de paiement et des services de monnaie électronique, Tunz.com confirme sa volonté de supporter le développement des services de monnaie électronique en France, en s’appuyant sur son expertise et ses capacités d’innovation dans le domaine de la monétique.
  • Jan Van Wijnendaele, Managing Director de Tunz.com, précise que l’objectif de Tunz est de faciliter et fiabiliser l’e-commerce et le m-commerce aussi bien pour les commerçants que pour les consommateurs.
  • Tunz a été créée en Belgique en 2007. Son actionnariat est aujourd’hui réparti entre ses fondateurs (60 %) et Belgacom (40 %) l’opérateur télécom dominant. En tant qu’EME, Tunz a fait valoir le dispositif du passeport européen pour exercer son activité dans l'ensemble de l'Union Européenne.
  • Aujourd’hui, Tunz propose une gamme de services en propre ou par le biais de partenaires dans le paiement mobile, les cartes et services prépayés et les wallets. La société collabore déjà avec certaines entreprises françaises qui s’appuient sur sa licence pour proposer leurs services (cartes prépayées, paiement groupé, etc.), comme Limonetik, Bankeez ou encore Leetchi.
Source : Communiqué de presse
  • Ce mouvement met à nouveau en relief le degré d’ouverture du marché avec l’arrivée d’acteurs non bancaires qu’ils soient d’origine française ou étrangère, ainsi que l’innovation que ceux-ci apportent pour proposer des services différenciants.
  • Pour rappel, six Etats membres n’ont pas encore procédé à la transposition intégrale de la deuxième directive sur la monnaie électronique (Directive 2009/110/CE dite « DME2 ») : la Belgique, l'Espagne, la France, Chypre, la Pologne et le Portugal. Il semblerait que la Belgique prenne des décisions très prochaines alors que cette perspective s’éloigne encore du côté français, illustration que l’Europe des paiements n’est pas encore pleinement harmonisée.
  • De son côté, l’AFEPAME en regroupant les EME et EP agréés en France ou exerçant des activités en France entend valoriser les activités de ses membres et la spécificité de leurs statuts, auprès des différents régulateurs et du marché.
  • Enfin, certains acteurs admettent que la non-transposition en droit français de la DME2 risque de créer une distorsion de concurrence entre les pays et de ralentir le décollage des solutions prépayées pleinement dématérialisées.