Le paiement intégré s’invite dans la mobilité urbaine
Flit Technologies, dans laquelle RCI Bank and Services a pris une part majoritaire, a créé en partenariat avec COMO Global, une nouvelle solution de paiement intégrée destinée aux professionnels de la mobilité urbaine, afin de simplifier les paiements et la gestion des flux de trésorerie.
Née d’une collaboration entre un acteur de la mobilité urbaine et un spécialiste du paiement intelligent, COMO Urban Mobility propose aux professionnels de la mobilité une solution complète de paiement pour faciliter leurs opérations du quotidien.
Accessible depuis les plates-formes de VTC, de flottes de taxis et de Dispatch Management, l’offre réconcilie en temps réel les différentes transactions générées, l’exécution du paiement, mais aussi la facturation.
RCI Bank and Services renforce son offre par le biais de ce service. Como Urban Mobility vient en effet s’ajouter à la solution de paiement en ligne qui accompagne le constructeur sur sa stratégie d’encaissement.
Mise en perspective : RCI prend le virage du BtoB
Face à la bataille mondiale visant à contrôler les technologies au cœur de la mobilité urbaine, RCI Bank multiplie les initiatives pour une mobilité urbaine plus flexible. Grâce à sa filiale de financement très active sur le front des nouvelles mobilités, Renault cherche à prendre un avantage décisif sur le marché des nouveaux services associés.
Depuis l’an dernier le groupe a centré son approche sur un public professionnel. Après l’acquisition de Karhoo qui est devenu une application de mobilité BtoB, il se penche désormais sur l’accompagnement des professionnels de la mobilité urbaine en leur proposant une solution de paiement sécurisée. COMO Urban Mobility sera donc intégrée aux différents services de mobilité (VTC, taxi, auto-partage, etc.). Le service de paiement intégré est présenté comme unique en son genre sur le marché.
Outre le paiement, RCI travaille sur plusieurs autres sujets stratégiques pour les marques du groupe tels que le Big Data, l’Intelligence Artificielle et les registres distribués