Allianz assure aussi les œuvres d’art
De nouvelles garanties viennent aujourd’hui enrichir le déjà vaste catalogue de produits d’assurance du groupe Allianz. Baptisée « Allianz Arts et Collections », cette nouvelle gamme adapte la flexibilité attendue par les contrats d’assurance à une cible très spécifique, celle des organismes publics de l’art.
Musées, fondations, entreprises, collectivités publiques et autres organisateurs d’expositions. Voici la liste d’organismes qu’Allianz cherche à cibler sur le marché français avec ses nouvelles garanties « Allianz Arts et Collections ». Elle exclut ainsi les particuliers, galeries, marchands d’art et autres antiquaires.
Ces nouvelles garanties spécifiques proposent d’assurer les collections et les expositions contre les risques de vol, vandalisme, incendies, dégâts des eaux et autres dommages matériels accidentels.
«Allianz Arts et Collections » promet d’allier la flexibilité (grâce à des contrats avec ou sans franchise) à une forme d’optimisation dépassant le stade des simples garanties « dommages ». La gamme prend notamment en charge la dépréciation éventuelle des biens suite à un sinistre ou la protection lors du transport, la manipulation ou le prêt d’une œuvre par exemple.
Mise en perspective : Les professionnels de l’art aussi ont droit à la flexibilité
Allianz étend aujourd’hui aux organismes publics de l’art ses ambitions en matière de soutien du monde artistique ; l’assureur compte par ailleurs parmi les partenaires du MoMA. De sponsor, Allianz reprend ainsi sa casquette d’assureur en s’adaptant à ce marché de l’art si spécifique.
La promesse de protéger les œuvres d’art ne représente néanmoins pas une première dans le monde de l’assurance. Allianz a en effet été devancée par AXA Art, leader mondial de l’assurance des œuvres d’art, qui présentait sa dernière offre en octobre 2016.
A l’époque, AXA promettait d’adapter la nouvelle exigence finalement globalisée de flexibilité aux besoins de ses clients particuliers les plus aisés. Aujourd’hui, Allianz étend encore un peu plus loin ce « droit à la flexibilité », en l’ouvrant aux organismes publics de l’art dont les exigences ne diffèrent finalement pas des autres assurés, en dépit de leur besoins très spécifiques.