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Chiffres de la fraude au Royaume-Uni

  • Les nouveaux chiffres de la UK Cards Association indiquent une baisse de la fraude liée aux chèques ainsi qu’à la banque en ligne en 2010 par rapport à 2009. La fraude à la carte diminue quant à elle de 17 %, passant à 365,4 millions de livres sterling, confirmant ainsi une tendance entamée en 2009, année durant laquelle cette baisse atteignait 28 %.
  • La fraude dans le cadre de la banque en ligne connaît une réduction estimée à 22 %, soit 46,7 millions de livres, par rapport à 2009, et ce, en dépit du nombre croissant de tentatives de phishing (+ 21 %).
  • La fraude liée aux chèques passe de 29,8 millions de livres à 28,9 millions. En effet, la grande majorité de ces tentatives a pu être endiguée avant que le chèque ne soit débité.
  • Par contraste, des indications plus préoccupantes nous viennent des Etats-Unis. Selon un récent sondage ACI Worldwide, 50 % des consommateurs américains déclarent craindre la fraude à la carte. Toutefois, en dépit de ces craintes, il semble, toujours selon cette étude, que près de 10 % ne respectent pas certaines règles de base, pourtant prévues à leur contrat et conservent leur code PIN avec leur carte. Par ailleurs, environ 20 % d’entre eux continuent de jeter reçus et relevés de banque aux ordures sans précautions préalables.
  • Toujours selon ACI Worldwide, les usagers français font eux partie des utilisateurs les plus prudents, et les victimes de fraude à la carte bancaire sont globalement contentes du traitement effectué par leur  établissement bancaire. Seules 5% des personnes interrogées envisageraient de changer d’institution, et 35% sont contentes de la rapidité de remboursement des montants fraudés. Il est à noter que les français craignent plus pour les conséquences financières liées à l’utilisation frauduleuse de leur carte (insolvabilité) que pour l’acte de fraude en lui-même.
  • Des solutions voient aujourd’hui le jour afin de permettre d’éviter la démultiplication de codes que les usagers oublient parfois. A titre d’exemple, lors des conférences PayFORUM 2011, Atos Worldline présentait un nouveau portefeuille dématérialisé, susceptible de centraliser des cartes bancaires émises par différentes banques et accessibles par le biais d’identifiants uniques propres à ladite solution.