Nice Ville NFC
- Un pilote à grand échelle va être lancé dès le printemps prochain à Nice pour tester l’intégration de la technologie sans contact NFC dans divers services de la vie quotidienne : paiement, contrôle d’accès, guides d’informations touristiques, etc.
- Trois mille détenteurs de portables NFC participeront à ce projet.
- Trois des projets niçois ont été sélectionnés lors de l’appel à projets lancé par le Forum des Services Mobiles Sans contact. (Voir veille mai-juin 2009) recevant ainsi une bourse du ministère de l’Industrie.
- Nice Future Campus : voir technologie sans contact
- Smart Muse : ce projet d’un budget de 1,5 million d’euro (dont un tiers venant de l’Etat) repose sur un système de tags répartis dans la vieille ville et donnant accès à des informations culturelles audio et vidéo lorsque le passant présente son téléphone portable devant le tag en question.
- BPass + : à l’initiative de Veolia Transport, ce projet va permettre aux usagers de transports en commun de la ville de payer leurs abonnement et titres de transport via leur portable et d’accéder à des informations sur les différentes lignes : horaires des bus, trafic, perturbations éventuelles, etc.
- Les différents acteurs des projets ont signé avec la ville une charte de partenariat et des comités de travail ont été mis en place pour que le développement de ces initiatives soit cohérent.
- La ville de Nice envisage cependant déjà d’élargir la gamme des services proposés : paiement de parking, services aux touristes, services de santé, etc.
- Pour ce pilote de grande envergure, le budget de la municipalité atteint les 50 000 euros mais d’autres fonds devraient être débloqués par la suite.
- Après le lancement de cette opération prévu au printemps prochain, il faudra attendre fin 2011-début 2012 pour que cette technologie soit déployée massivement auprès du grand public.
- L’aéroport de Nice a déjà servi de terrain d’expérimentation puisque les compagnies Air France-KLM et Lufthansa ont testé l’année dernière la carte d’embarquement sur le mobile.
- Dès l’automne 2008, la société des aéroports de la Côte d’Azur avait d’ailleurs remplacé la totalité des équipements de lecture des cartes d’embarquement dans les deux terminaux d’embarquement.