B2b EN-TRADE, la première plate-forme française d’échanges de services entre entreprises - France
En ligne depuis 6 mois, la plate-forme française b2b EN-TRADE met les entreprises en relation et leur offre la possibilité de réaliser des échanges de produits ou de services dans une version modernisée du troc. La plate-forme s’adresse en priorité aux entrepreneurs (PME/PMI). En s’inscrivant sur le site, l’entreprise indique ses besoins, ce qu’elle est prête à échanger, en quelle quantité, ainsi que l’ordre de prix qui correspondrait à la valeur des biens et services concernés. Elle peut alors accéder à une bourse aux échanges où elle peut consulter les offres et besoins des autres entreprises. Une mise en relation permet ensuite aux entreprises parties prenantes de finaliser un éventuel accord via le service Broker EN-TRADE qui suivra toute la réalisation de l’opération. Le service est gratuit. B2b EN-TRADE se rémunère au résultat (si les transactions d’échange ont lieu) sous la forme d’une commission d’apporteur d’affaires pouvant aller de 4 à 10 % selon le montant de l’échange.
Ce concept, qui s’est développé avec succès outre-Atlantique, permet aux
entreprises d’échanger des biens ou services sans avoir à puiser dans
leur trésorerie. Ce service de mise en relation peut également
constituer un moyen d’épurer leur stock, voire de se donner une
visibilité auprès d’autres entreprises.
Le site devrait par ailleurs proposer prochainement (vraisemblablement à partir du second semestre 2011) une nouvelle fonctionnalité avec l’introduction d’une monnaie virtuelle privative qui devrait faciliter et fluidifier les échanges. Dans un contexte économique difficile où les institutions financières hésitent parfois à accorder des financements, cette solution pourrait constituer une stratégie alternative où la collaboration deviendrait un facteur de croissance. En 2009, l’échange interentreprises aurait généré neuf milliards de dollars de chiffres d’affaires dans le monde selon l’IRTA (International Reciprocal Trade Association). En France, ce type d’échanges, peu utilisé par les PME, serait surtout l’apanage des grands groupes et son montant aurait atteint 400 à 500 millions d’euros en 2009, d’après le site TechCrunch. Sur le même segment, on peut citer l’exemple américain du réseau social Bitsy, qui permet aux auto-entrepreneurs de rentrer en contact, à la fois pour gagner en visibilité et bénéficier de l’expérience des autres membres. Une manière de répondre aux besoins nés de cette nouvelle forme de travail.
Le site devrait par ailleurs proposer prochainement (vraisemblablement à partir du second semestre 2011) une nouvelle fonctionnalité avec l’introduction d’une monnaie virtuelle privative qui devrait faciliter et fluidifier les échanges. Dans un contexte économique difficile où les institutions financières hésitent parfois à accorder des financements, cette solution pourrait constituer une stratégie alternative où la collaboration deviendrait un facteur de croissance. En 2009, l’échange interentreprises aurait généré neuf milliards de dollars de chiffres d’affaires dans le monde selon l’IRTA (International Reciprocal Trade Association). En France, ce type d’échanges, peu utilisé par les PME, serait surtout l’apanage des grands groupes et son montant aurait atteint 400 à 500 millions d’euros en 2009, d’après le site TechCrunch. Sur le même segment, on peut citer l’exemple américain du réseau social Bitsy, qui permet aux auto-entrepreneurs de rentrer en contact, à la fois pour gagner en visibilité et bénéficier de l’expérience des autres membres. Une manière de répondre aux besoins nés de cette nouvelle forme de travail.