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Virtual Piggy s’ouvre aux paiements récurrents

  • Virtual Piggy annonce l’ouverture de sa solution de paiement aux abonnements. Les jeunes utilisateurs peuvent désormais s’abonner à un jeu ou autre contenu numérique via leur compte Virtual Piggy.
  • La fréquence des modèles de paiements récurrents dans le domaine de la vente de contenus digitaux explique cette initiative du spécialiste, qui rappelle que les abonnements représentaient en 2011 près d’1,6 milliard de dollars pour les jeux en ligne (jeux sociaux) et 6,5 milliards dans le secteur de l’industrie musicale.
  • Parmi les premiers à adopter ce nouveau mode de paiement, Fanlala le spécialiste des divertissements pour les jeunes : il représente plus de 34 millions d’utilisateurs potentiels.
  • Virtual Piggy se positionne désormais sur deux modèles spécialement adaptés au contexte en ligne : les micro-paiements et les abonnements. Les parents restent maîtres des limites à imposer sur les comptes et des dates des prélèvements pour les abonnements ; des alertes leur sont transmises pour chaque prélèvement.
Source : Communiqué de presse de Virtual Piggy
  • Fondée en 2008, Moogle lançait Virtual Piggy début 2011 (voir l’Observatoire de janvier 2011) et changeait de nom en septembre de la même année. Cette start-up s’est, la première, concentrée sur une solution exclusivement dédiée aux jeunes (moins de 18 ans), avec l’aval des parents qui définissent et contrôlent les limites de leurs dépenses.
  • Depuis, elle ne cesse d’enchaîner les partenariats (avec YuuZoo et Kidlandia, en avril dernier, par exemple) et d’étendre la portée de son offre que l’ajout d’une option de paiement récurrent vient encore enrichir aujourd’hui.
  • A noter début février le lancement par Virtual Piggy d’une application pour iOS qui témoigne de son intérêt pour le canal mobile et complète une offre en ligne déjà fournie. Le but est d’atteindre un maximum de public, dans le respect de la loi, tout en se rappelant que les jeunes de 8 à 18 ans disposent d’un pouvoir d’achat cumulé de plus de 50 milliards de dollars par an.